recycler vos velo en mobilier ....
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recycler vos velo en mobilier ....
voila ce que ca donne quand on a un petit vélo dans la tête
et que l'on aime le mobilier
le fauteuil
la chaise de bar
je vois bien peux être pas dans le salon mais dans un atelier pour l'apéro
après avoir bien bricolé
et pour l'apero chez les copinggg
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Spéciale dédicace à Punkrider, grand amateur de confiture :
REVOLVER
Le revolver ou révolver (de l'anglais to revolve, signifiant faire tourner) est une arme de poing simple dans laquelle les charges sont stockées dans un barillet, c'est-à-dire dans un cylindre rotatif percé de plusieurs chambres s'alignant tour-à-tour avec le canon et le système de percussion.
HISTORIQUE :
Le revolver est apparu dans son principe en 1837 avec le Colt Paterson. Il constituait un progrès considérable sur les poivrières possédant plusieurs canons tournants, en général de faible calibre et puissance, ainsi que sur les pistolets à un ou deux canons fixes, pouvant être plus puissants. L'avancée technique sur les systèmes à silex est l'invention de la capsule détonante permettant d'allumer la charge de poudre avec une grande fiabilité et un mécanisme peu encombrant. Le Paterson ne possédait pas de levier de chargement (servant à pousser la balle dans la chambre), ce qui impliquait de démonter le barillet pour le charger, démontage toutefois simple et rapide.
Le chargement du revolver à capsule se fait par l'avant du barillet, une dose de poudre, une bourre facultative pour combler le vide entre poudre et balle, la balle, posée de façon à affleurer le bord du barillet, puis on passe au chargement de la chambre suivante. A la fin on remplit de graisse le creux autour des balles pour empêcher l'humidité de pénétrer, ainsi que pour empêcher la flamme issue d'une chambre voisine d'allumer plusieurs charges alors que les balles ne sont pas face au canon, puis finalement on pose les capsules. Il est plus que prudent de laisser une chambre vide pour ne pas laisser reposer le chien sur une amorce, le moindre choc pouvant alors faire partir le coup. La petite histoire dit que c'est dans cette chambre vide que les cow-boys plaçaient les billets de leur paye hebdomadaire. Cette capsule sera plus tard intégrée à un corps en laiton contenant la poudre et maintenant la balle, de façon à donner la cartouche telle qu'on la connait. Certains fabricants proposaient un ensemble balle et poudre durcie enserrée dans un boyau ou du papier combustible pour simplifier le chargement. Les premiers revolvers étaient généralement à cadre ouvert, une sorte de U enserrant le barillet, mais la puissance des charges tordait le cadre, les revolver puissants utilisent un cadre monobloc fermé sur le dessus, indéformable.
En 1855, un Américain du nom de Rollin White, eut l'idée de forer de part en part le barillet des revolvers, autorisant ainsi le chargement par l'arrière. La firme Colt, d'abord approchée pour l'exploitation commerciale, la jugea sans intérêt. Son concurrent Smith & Wesson acheta en 1856 les droits afin d'exploiter le seul type de barillet susceptible de fonctionner avec ses nouvelles cartouches. Lors de l'expiration du brevet Colt (1857) concernant l'invention du barillet, Smith & Wesson bénéficia, de ce fait, d'une exclusivité sur les barillets forés de part en part et ce jusqu'en 1869. Pour contourner ce brevet de nombreux armuriers, par exemple Slocum, recherchèrent d'autres systèmes.
Modéle Lefaucheux, cartouche à broche, 1865-70
Revolver 9 mm, Dieudonné Levaux, Liège 1870, modèle en métal argenté et crosse en ivoire.
Revolver 8 mm type Bulldog, Manufacture d'armes de Saint-Etienne vers 1890, crosse en bakélite noire.
La capacité pratique était souvent réduite d'une cartouche car il était d'usage de laisser vide la chambre alignée avec le canon afin d'éviter une percussion accidentelle en cas de chute, du moins jusqu'à l'invention du "chien rebondissant" qui, au lieu de reposer sur l'amorce, revient un peu en arrière après percussion et y demeure, dans une position interdisant une percussion accidentelle, jusqu'à nouvelle pression du tireur sur la queue de détente (système inventé en 1866 par Purdey (?) ou, en 1876 sur le revolver Moncie (?)).
Les platines des premiers revolvers étaient simple action, le tireur devait donc armer à la main avant chaque tir. Les platines double action, permettant tout à la fois d'armer le chien et de faire tourner le barillet d'une seule pression sur la détente, apparurent vers 1850. Cela augmenta la cadence de tir des revolvers mais la pression à exercer sur la détente étant plus forte, la précision est réduite. C'est pour cette raison que les revolvers double action fonctionnent généralement aussi en simple action. Le système triple action permet par une première pression sur la détente de mettre le chien à l'armé et par une pression supplémentaire de relâcher le chien pour la percussion
Pendant la même période, quelques carabines ont utilisé le système à barillet du revolver, mais la position de tir propre aux armes d'épaule rapprochait dangereusement le visage du barillet donc de ses projections de gaz brûlants et éclatements potentiels.
Comme arme de poing, le revolver a longtemps pu faire valoir une meilleure fiabilité que le pistolet. Son mécanisme très simple ne s'enraye pas et en cas de cartouche défectueuse, il suffit de presser à nouveau la détente pour aligner une chambre pleine et tirer une autre cartouche. Cet avantage est aujourd'hui moins déterminant car les procédés industriels modernes améliorent la fiabilité des pistolets et des munitions, mais il permet toujours de tirer tous les chargements de munition alors que le mécanisme d'un pistolet semi-automatique pourrait ne pas être mis en mouvement par une cartouche ne générant que peu de recul.
REVOLVER
Le revolver ou révolver (de l'anglais to revolve, signifiant faire tourner) est une arme de poing simple dans laquelle les charges sont stockées dans un barillet, c'est-à-dire dans un cylindre rotatif percé de plusieurs chambres s'alignant tour-à-tour avec le canon et le système de percussion.
HISTORIQUE :
Le revolver est apparu dans son principe en 1837 avec le Colt Paterson. Il constituait un progrès considérable sur les poivrières possédant plusieurs canons tournants, en général de faible calibre et puissance, ainsi que sur les pistolets à un ou deux canons fixes, pouvant être plus puissants. L'avancée technique sur les systèmes à silex est l'invention de la capsule détonante permettant d'allumer la charge de poudre avec une grande fiabilité et un mécanisme peu encombrant. Le Paterson ne possédait pas de levier de chargement (servant à pousser la balle dans la chambre), ce qui impliquait de démonter le barillet pour le charger, démontage toutefois simple et rapide.
Le chargement du revolver à capsule se fait par l'avant du barillet, une dose de poudre, une bourre facultative pour combler le vide entre poudre et balle, la balle, posée de façon à affleurer le bord du barillet, puis on passe au chargement de la chambre suivante. A la fin on remplit de graisse le creux autour des balles pour empêcher l'humidité de pénétrer, ainsi que pour empêcher la flamme issue d'une chambre voisine d'allumer plusieurs charges alors que les balles ne sont pas face au canon, puis finalement on pose les capsules. Il est plus que prudent de laisser une chambre vide pour ne pas laisser reposer le chien sur une amorce, le moindre choc pouvant alors faire partir le coup. La petite histoire dit que c'est dans cette chambre vide que les cow-boys plaçaient les billets de leur paye hebdomadaire. Cette capsule sera plus tard intégrée à un corps en laiton contenant la poudre et maintenant la balle, de façon à donner la cartouche telle qu'on la connait. Certains fabricants proposaient un ensemble balle et poudre durcie enserrée dans un boyau ou du papier combustible pour simplifier le chargement. Les premiers revolvers étaient généralement à cadre ouvert, une sorte de U enserrant le barillet, mais la puissance des charges tordait le cadre, les revolver puissants utilisent un cadre monobloc fermé sur le dessus, indéformable.
En 1855, un Américain du nom de Rollin White, eut l'idée de forer de part en part le barillet des revolvers, autorisant ainsi le chargement par l'arrière. La firme Colt, d'abord approchée pour l'exploitation commerciale, la jugea sans intérêt. Son concurrent Smith & Wesson acheta en 1856 les droits afin d'exploiter le seul type de barillet susceptible de fonctionner avec ses nouvelles cartouches. Lors de l'expiration du brevet Colt (1857) concernant l'invention du barillet, Smith & Wesson bénéficia, de ce fait, d'une exclusivité sur les barillets forés de part en part et ce jusqu'en 1869. Pour contourner ce brevet de nombreux armuriers, par exemple Slocum, recherchèrent d'autres systèmes.
Modéle Lefaucheux, cartouche à broche, 1865-70
Revolver 9 mm, Dieudonné Levaux, Liège 1870, modèle en métal argenté et crosse en ivoire.
Revolver 8 mm type Bulldog, Manufacture d'armes de Saint-Etienne vers 1890, crosse en bakélite noire.
La capacité pratique était souvent réduite d'une cartouche car il était d'usage de laisser vide la chambre alignée avec le canon afin d'éviter une percussion accidentelle en cas de chute, du moins jusqu'à l'invention du "chien rebondissant" qui, au lieu de reposer sur l'amorce, revient un peu en arrière après percussion et y demeure, dans une position interdisant une percussion accidentelle, jusqu'à nouvelle pression du tireur sur la queue de détente (système inventé en 1866 par Purdey (?) ou, en 1876 sur le revolver Moncie (?)).
Les platines des premiers revolvers étaient simple action, le tireur devait donc armer à la main avant chaque tir. Les platines double action, permettant tout à la fois d'armer le chien et de faire tourner le barillet d'une seule pression sur la détente, apparurent vers 1850. Cela augmenta la cadence de tir des revolvers mais la pression à exercer sur la détente étant plus forte, la précision est réduite. C'est pour cette raison que les revolvers double action fonctionnent généralement aussi en simple action. Le système triple action permet par une première pression sur la détente de mettre le chien à l'armé et par une pression supplémentaire de relâcher le chien pour la percussion
Pendant la même période, quelques carabines ont utilisé le système à barillet du revolver, mais la position de tir propre aux armes d'épaule rapprochait dangereusement le visage du barillet donc de ses projections de gaz brûlants et éclatements potentiels.
Comme arme de poing, le revolver a longtemps pu faire valoir une meilleure fiabilité que le pistolet. Son mécanisme très simple ne s'enraye pas et en cas de cartouche défectueuse, il suffit de presser à nouveau la détente pour aligner une chambre pleine et tirer une autre cartouche. Cet avantage est aujourd'hui moins déterminant car les procédés industriels modernes améliorent la fiabilité des pistolets et des munitions, mais il permet toujours de tirer tous les chargements de munition alors que le mécanisme d'un pistolet semi-automatique pourrait ne pas être mis en mouvement par une cartouche ne générant que peu de recul.
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aaaah ben j'savais pas dis !!!!psykopat a écrit :Spéciale dédicace à Punkrider, grand amateur de confiture :
REVOLVER
Le revolver ou révolver (de l'anglais to revolve, signifiant faire tourner) est une arme de poing simple dans laquelle les charges sont stockées dans un barillet, c'est-à-dire dans un cylindre rotatif percé de plusieurs chambres s'alignant tour-à-tour avec le canon et le système de percussion.
HISTORIQUE :
Le revolver est apparu dans son principe en 1837 avec le Colt Paterson. Il constituait un progrès considérable sur les poivrières possédant plusieurs canons tournants, en général de faible calibre et puissance, ainsi que sur les pistolets à un ou deux canons fixes, pouvant être plus puissants. L'avancée technique sur les systèmes à silex est l'invention de la capsule détonante permettant d'allumer la charge de poudre avec une grande fiabilité et un mécanisme peu encombrant. Le Paterson ne possédait pas de levier de chargement (servant à pousser la balle dans la chambre), ce qui impliquait de démonter le barillet pour le charger, démontage toutefois simple et rapide.
Le chargement du revolver à capsule se fait par l'avant du barillet, une dose de poudre, une bourre facultative pour combler le vide entre poudre et balle, la balle, posée de façon à affleurer le bord du barillet, puis on passe au chargement de la chambre suivante. A la fin on remplit de graisse le creux autour des balles pour empêcher l'humidité de pénétrer, ainsi que pour empêcher la flamme issue d'une chambre voisine d'allumer plusieurs charges alors que les balles ne sont pas face au canon, puis finalement on pose les capsules. Il est plus que prudent de laisser une chambre vide pour ne pas laisser reposer le chien sur une amorce, le moindre choc pouvant alors faire partir le coup. La petite histoire dit que c'est dans cette chambre vide que les cow-boys plaçaient les billets de leur paye hebdomadaire. Cette capsule sera plus tard intégrée à un corps en laiton contenant la poudre et maintenant la balle, de façon à donner la cartouche telle qu'on la connait. Certains fabricants proposaient un ensemble balle et poudre durcie enserrée dans un boyau ou du papier combustible pour simplifier le chargement. Les premiers revolvers étaient généralement à cadre ouvert, une sorte de U enserrant le barillet, mais la puissance des charges tordait le cadre, les revolver puissants utilisent un cadre monobloc fermé sur le dessus, indéformable.
En 1855, un Américain du nom de Rollin White, eut l'idée de forer de part en part le barillet des revolvers, autorisant ainsi le chargement par l'arrière. La firme Colt, d'abord approchée pour l'exploitation commerciale, la jugea sans intérêt. Son concurrent Smith & Wesson acheta en 1856 les droits afin d'exploiter le seul type de barillet susceptible de fonctionner avec ses nouvelles cartouches. Lors de l'expiration du brevet Colt (1857) concernant l'invention du barillet, Smith & Wesson bénéficia, de ce fait, d'une exclusivité sur les barillets forés de part en part et ce jusqu'en 1869. Pour contourner ce brevet de nombreux armuriers, par exemple Slocum, recherchèrent d'autres systèmes.
Modéle Lefaucheux, cartouche à broche, 1865-70
Revolver 9 mm, Dieudonné Levaux, Liège 1870, modèle en métal argenté et crosse en ivoire.
Revolver 8 mm type Bulldog, Manufacture d'armes de Saint-Etienne vers 1890, crosse en bakélite noire.
La capacité pratique était souvent réduite d'une cartouche car il était d'usage de laisser vide la chambre alignée avec le canon afin d'éviter une percussion accidentelle en cas de chute, du moins jusqu'à l'invention du "chien rebondissant" qui, au lieu de reposer sur l'amorce, revient un peu en arrière après percussion et y demeure, dans une position interdisant une percussion accidentelle, jusqu'à nouvelle pression du tireur sur la queue de détente (système inventé en 1866 par Purdey (?) ou, en 1876 sur le revolver Moncie (?)).
Les platines des premiers revolvers étaient simple action, le tireur devait donc armer à la main avant chaque tir. Les platines double action, permettant tout à la fois d'armer le chien et de faire tourner le barillet d'une seule pression sur la détente, apparurent vers 1850. Cela augmenta la cadence de tir des revolvers mais la pression à exercer sur la détente étant plus forte, la précision est réduite. C'est pour cette raison que les revolvers double action fonctionnent généralement aussi en simple action. Le système triple action permet par une première pression sur la détente de mettre le chien à l'armé et par une pression supplémentaire de relâcher le chien pour la percussion
Pendant la même période, quelques carabines ont utilisé le système à barillet du revolver, mais la position de tir propre aux armes d'épaule rapprochait dangereusement le visage du barillet donc de ses projections de gaz brûlants et éclatements potentiels.
Comme arme de poing, le revolver a longtemps pu faire valoir une meilleure fiabilité que le pistolet. Son mécanisme très simple ne s'enraye pas et en cas de cartouche défectueuse, il suffit de presser à nouveau la détente pour aligner une chambre pleine et tirer une autre cartouche. Cet avantage est aujourd'hui moins déterminant car les procédés industriels modernes améliorent la fiabilité des pistolets et des munitions, mais il permet toujours de tirer tous les chargements de munition alors que le mécanisme d'un pistolet semi-automatique pourrait ne pas être mis en mouvement par une cartouche ne générant que peu de recul.